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[NUMÉRIQUE RESPONSABLE] 7 raisons de découvrir JYROS, le nouvel outil de mesure d’impact environnemental créé pour les entreprises du jeu vidéo !

Le Consortium National du Jeu Vidéo pour l’Environnement est fier de vous annoncer la sortie de son outil de mesure d’impact environnemental dédié à notre industrie le vendredi 6 octobre prochain après plusieurs mois de travail et d’itération avec I-Care et 27 studios pilotes.

6 structures en Nouvelle-Aquitaine ont participé à sa mise en place : Apperture, Asobo Studio, Metaboli/Gamesplanet, Nova-Box, Shiro Games et Seed by Seed.

Afin de vous présenter l’outil, participez au webinaire de présentation le mercredi 11 octobre de 11h à 12h30. Ce webinaire sera animé par Geoffrey Marmonier, Responsable de projets RSE du consortium.

:index_vers_la_droite::couleur-de-peau-2: Je m’inscris au webinaire

 

Pourquoi participer à ce webinaire ?

Cette question revient à se demander : pourquoi utiliser Jyros ?

Alors voici 7 raisons que SO· Games a voulu convaincantes pour motiver ses membres :

1. C’est gratuit !

Certains dépensent pas mal d’argent pour qu’un tiers leur fasse un bilan carbone incomplet et répondre ainsi à leurs obligations réglementaires. Là, vous aurez un outil dédié au jeu vidéo, permettant de couvrir l’ensemble de votre activité, utilisant des méthodes communes, validées par les meilleurs experts du secteur !

2. C’est transparent, ouvert
La méthode d’évaluation des impacts est accessible, compréhensible et évolutive. L’outil doit encore s’enrichir, grâce aux entrées de toute la profession ; nous comptons donc sur vos retours en cas de manque (on vous le dit tout de suite, il y a des manques mais c’est un bon début !)

3. C’est fait pour aller au-delà des attentes d’éco-conditionnalité du CNC

Vous pourrez vous contenter d’utiliser la partie mesure pour répondre à des obligations réglementaires et vous pourrez aller plus loin et utiliser l’outil pour clarifier honnêtement l’importance des impacts au sein de votre activité, y compris sur la partie liée à l’utilisation de vos jeux par les joueurs, et mettre en place des pistes de réduction pertinentes. Ensuite, libre à vous de communiquer dessus ou non. Ça reste privé et les données agrégées restent anonymes.

4. C’est compatible avec une approche internationale de la mesure

À la fois avec le GHG protocole et à la fois avec les recommandations de Play for the Planet sur l‘intégration du scope 3 au sein des calculs. Ainsi, si vos discussions avec vos partenaires internationaux impliquent une approche anglo-saxonne, vous parlerez déjà le même langage !

5. Ça ne concerne pas que les petits studios !

L’outil est une formidable opportunité d’intégrer et valider les approches individuelles des plus gros acteurs, y compris des fabricants de matériels, souvent accusés de green-washing.

6. C’est le reflet de tout le secteur du jeu vidéo

L’occasion unique de collecter des données nationales anonymisées permettant de dégager des statistiques uniques pour la filière et d’intégrer le plan climat et les contributions déterminées au niveau national, dans le cadre de l’accord de Paris.

7. Et pour finir,

C’est l’occasion de donner à la France du jeu vidéo, un rôle de leader en matière d’environnement. Pas avec du blablapolitique, mais avec le même pragmatisme et la même efficacité lorsque nous développons nos jeux.

 

Le consortium national du jeu vidéo pour l’environnement est composé des 8 associations régionales Atlangames, Collectif Bouftang, Capital Games, East Games, GAME IN – Game Industry North, GAME ONLY, Push Start et SO· Games ainsi que du SNJV – Syndicat National du Jeu Vidéo du Jeu Vidéo et du SELL – Syndicat des Éditeurs de Logiciels de Loisirs.

Les studios pilotes sont Ludogram, Ankama, Ishtar Games, Activdesign, Endroad, Casus Ludi, Gamesplanet, Apperture, Seed By Seed, Shiro Games, Asobo Studio, Nova-Box, The Game Bakers, SplashTeam, Digixart, Atlas V, Albyon, The Tiny Digital Factory, Gameleon Studio, Artefacts Studio, Old Skull Games, Goblinz Studio, Amplitude, Virtuos, Oh Bibi, Douze Dixièmes, Dotemu et Spiders.

Merci au Ministère de la Culture et à la Banque des Territoires de nous accompagner dans ce projet ainsi qu’à nos partenaires, le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) et l’ADEME.

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